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Dans la Rome antique, lors de la cérémonie qui précédait le mariage, le tuteur de la future mariée faisait une promesse solennelle au nom de cette dernière et en échange, son futur mari lui donnait une bague en gage. De simples anneaux de fer puis d’or, en forme de nœud symbolisant le lien qui attache les deux époux.
Il faudra attendre le Moyen-Age pour voir les bagues s’orner régulièrement de gemmes; celles-ci donnaient un symbole complémentaire.
A partir du XVIIème siècle, les montures s’enrichissent d’émail, de bouquets de fleurs, les inscriptions se font à l’intérieur de l’anneau. A cette époque, elles étaient souvent portées au pouce et mises à l’annulaire durant la messe de mariage.
Au XVIIIème siècle, elles s’affinent. Elles s’ornent de plusieurs petites ou grosses pierres et on y retrouve très souvent les symboles liés à l’amour, les initiales des deux époux serties de diamants ou encore des perles fines associées aux diamants, certaines porteront le nom de « Pompadour », « Marguerite », « toi et moi »…
Dès le début du XIXème siècle, l’évolution des modèles fut déterminée par deux influences majeures : le néoclassicisme créé durant l’Empire Napoléonien et le romantisme avec le retour à la nature, la discrétion, la modestie. Elles sont serties de camées, de miniatures et toujours les symboles liés à l’amour : mains jointes, cœur couronné ou enflammé, le lierre (je m’attache ou je meurs), le myosotis (ne m’oubliez pas), la bague serpent symbole d’attachement, la bague jumelée : elle se séparait en 2 et comportait à l’intérieur de l’anneau le prénom des deux époux, la date du mariage ou parfois une devise telle « que l’homme ne sépare pas ce que dieu a uni »
Grâce à une expansion économique sans précédent sous le règne de Napoléon III, avec l’annexion de la Birmanie qui nous amène les rubis et saphirs et la découverte des mines de diamants en Afrique du Sud, les bagues se chargent de pierres. La taille se perfectionne, les montures s’aèrent permettant à la lumière de pénétrer dans les pierres pour les faire briller encore plus.
Avec l’avènement du XXème siècle nait l’ Art Nouveau, les formes se libèrent, se courbent et s’enroulent, s’ornent de perles baroques, d’opales, de petits diamants.
Puis viennent les bagues 1925/1930 avec l’Art Déco qui apporte un changement spectaculaire à la joaillerie. Très graphiques, géométriques d’une qualité exceptionnelle grâce au platine elles s’ornent de pierres en tailles émeraude, poire, navette, baguette et autre cabochon à la taille parfaite.
Puis viennent les années 1940 avec des formes très sculpturales qui brisent les conventions établies. Les bagues sont volumineuses, parfois asymétriques avec des diamants et des pierres de synthèse.
Dans les années 1960 les bagues étaient toujours importantes mais avec des ajours et plus de finesse.
Depuis ces périodes, il a eu peu d’évolution pour la bague de fiançailles, les Pompadour, solitaire et autre toi et moi sont toujours présentes. Elles ont traversé les siècles sans une ride et la bijouterie traditionnelle s’inspire toujours des modèles des temps passés en donnant une mode à la couleur de l’or, à une forme, une matière rajoutée, une géométrie renforcée mais avant tout, la bague de fiançailles est le cadeau que se font les gens qui s’aiment, qu’il soit modeste ou important, il a une signification toute personnelle qui restera toute la vie de celle qui la porte.
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